J'adore. Encore une fois j'adore. Chaque ligne, chaque trait est parfait, parfaitement à sa place dans cette composition pour faire espérer le spectateur qu'il peut aller à la rencontre de ta funambulle. Et ce "tapis jaune" de star m'a fait tout de suite penser à une comédie musicale. Je crois en entendre sa musique d'ailleurs. Bravo Celestine. Bises.
Merci beaucoup Patrick. J'ai vraiment une tendresse pour la fille aux mouettes, sans doute parce que j'y ai mis de moi encore plus que d'habitude. Bisous célestement heureux
Heureuse découverte de ta sirène toute en légéreté, en pente douce vers un coin de bonheur. Tout à l'air si paisible, même la mer si plane et le soir tout câlin !
J'ai l'impression qu'elle a les chevilles attachées. Je n'y vois pas un défaut technique mais une parole dissimulée dans le dessin pour nous perdre un peu plus dans ce mystérieux labyrinthe dont il est difficile de ne pas sortir à chaque fois émerveillé.
Certes elle n'a pas les chevilles attachées parce que ce serait contraire à sa liberté, mais peut-être que les brides de ses chaussures sont déjà un frein ? Merci en tous cas pour votre émerveillement qui me fait du bien. ¸¸.•*¨*• ☆
... Elle regagnait le bourg en longeant le bassin le cheveu cristallin enflammant l'alentour le coeur quitte, l'oeil sec, la lèvre un peu absente la palme de ses mains qu'un léger voile évente intime, un mystérieux émoi se faisait jour comme son sein plus lourd sous le lacet de daim ...
J'adore. Encore une fois j'adore. Chaque ligne, chaque trait est parfait, parfaitement à sa place dans cette composition pour faire espérer le spectateur qu'il peut aller à la rencontre de ta funambulle. Et ce "tapis jaune" de star m'a fait tout de suite penser à une comédie musicale. Je crois en entendre sa musique d'ailleurs.
RépondreSupprimerBravo Celestine. Bises.
Merci beaucoup Patrick. J'ai vraiment une tendresse pour la fille aux mouettes, sans doute parce que j'y ai mis de moi encore plus que d'habitude.
SupprimerBisous célestement heureux
¸¸.•*¨*• ☆
Heureuse découverte de ta sirène toute en légéreté, en pente douce vers un coin de bonheur.
RépondreSupprimerTout à l'air si paisible, même la mer si plane et le soir tout câlin !
Merci beaucoup Balaline
SupprimerTu es ici chez toi, dans ce monde idéal et aérien.
¸¸.•*¨*• ☆
J'ai l'impression qu'elle a les chevilles attachées. Je n'y vois pas un défaut technique mais une parole dissimulée dans le dessin pour nous perdre un peu plus dans ce mystérieux labyrinthe dont il est difficile de ne pas sortir à chaque fois émerveillé.
RépondreSupprimerCertes elle n'a pas les chevilles attachées parce que ce serait contraire à sa liberté, mais peut-être que les brides de ses chaussures sont déjà un frein ?
SupprimerMerci en tous cas pour votre émerveillement qui me fait du bien.
¸¸.•*¨*• ☆
i like your blog..haloo
RépondreSupprimerThank you
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
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RépondreSupprimerElle regagnait le bourg en longeant le bassin
le cheveu cristallin enflammant l'alentour
le coeur quitte, l'oeil sec, la lèvre un peu absente
la palme de ses mains qu'un léger voile évente
intime, un mystérieux émoi se faisait jour
comme son sein plus lourd sous le lacet de daim
...
;)