Bonjour Célestine. J'atterris ici un peu par hasard (et un peu par curiosité aussi, je dois dire... (sourire)), et je trouve l'endroit très joli. Je reviendrai. :-) Bonnes fêtes de Noël.
On atterrit toujours par hasard sur un blog...sauf qu'il n'y a pas de hasard. Mais ceci est une autre lisse poire... Merci de votre passage chère Francoise.
Oh Alain, comme ça me fait plaisir que tu aies passé la porte de mes funambulles...
Quelle émotion? Mais toutes, je suis un roseau ressentant, je vibre sur ma tige ainsi qu'un encensoir et je m'evapore au soir, je ris je pleure je vis je meurs, et pour un rien je mouille mon mouchoir. ( pardon, Baudelaire)
Il me vient en tête l'histoire de cette femme qui venait chaque jour au port dire adieu aux marins. J'en ai oublié les détails mais si je me souviens bien, le mari de cette femme était marin porté disparu et elle n'avait pu l'accompagner lors de son ultime sortie en mer, alors elle venait dire adieu à tous les marins, chaque jour.
Très beau. Comme quoi le 22 décembre n'est pas le 22 septembre. Heureusement!
RépondreSupprimerMais dites moi, mon ami, vous ne deviendriez pas plus brassensophile que moi?
SupprimerMouchoir du soir : espoir ... Ou désespoir ?
RépondreSupprimerLe dé, est-ce poire? Voilà la question...
Supprimeroui tu as raison secoue bien le mouchoir et je te verrai de là haut sur mon goéland !
RépondreSupprimerMais tu l'as deviné, PSV! Je me suis postée sur mon balcon pour tenter de te voir passer sur ton beau goéland...
SupprimerBonjour Célestine. J'atterris ici un peu par hasard (et un peu par curiosité aussi, je dois dire... (sourire)), et je trouve l'endroit très joli. Je reviendrai. :-)
RépondreSupprimerBonnes fêtes de Noël.
On atterrit toujours par hasard sur un blog...sauf qu'il n'y a pas de hasard. Mais ceci est une autre lisse poire...
SupprimerMerci de votre passage chère Francoise.
Mouchoir, mon beau mouchoir
RépondreSupprimerDis-moi pour quelle émotion tu me désires.
Oh Alain, comme ça me fait plaisir que tu aies passé la porte de mes funambulles...
SupprimerQuelle émotion? Mais toutes, je suis un roseau ressentant, je vibre sur ma tige ainsi qu'un encensoir et je m'evapore au soir, je ris je pleure je vis je meurs, et pour un rien je mouille mon mouchoir.
( pardon, Baudelaire)
La mer (la mère ?) n'est jamais loin...
RépondreSupprimerMais dimoi, pour reprendre un thème qui nous est récurrent : ne dit-on pas "agitâteuse" ? ;oD
Oui on peut dire ça aussi..mais chut!
SupprimerSuperbe ! You're gifted !
RépondreSupprimerLe fameux berceau et les trois bonnes dames qui se sont penchées dessus...pourvu que je ne m'endorme pas pour cent ans...^^
SupprimerIl me vient en tête l'histoire de cette femme qui venait chaque jour au port dire adieu aux marins. J'en ai oublié les détails mais si je me souviens bien, le mari de cette femme était marin porté disparu et elle n'avait pu l'accompagner lors de son ultime sortie en mer, alors elle venait dire adieu à tous les marins, chaque jour.
RépondreSupprimerC'est une très belle histoire.
SupprimerJ'ai toujours aimé les histoires de marins...
Mon côté irlandais, sans doute...