Heureuse de te voir la Alain. J'ai un cœur d'hirondelle et des yeux de faïence même si je ne m'appelle pas Lola. Un reflet sans doute de ma désespérance joyeuse.
"Et moi pour la juger qui suis-je Pauvres bonheurs pauvres vertiges Il s'est tant perdu de prodiges Que je ne m'y reconnais plus Rencontres Partances hâtives Est-ce ainsi que les hommes vivent"
Je découvre grâce a toi que le poème ne commence pas là ou l'on croit. Je ne le savais pas ( c'est dire l'étendue de mon inculture) Qui est-elle...tu as posé le doigt sur la question qui m'anime depuis un certain nombre d'année...le saura-t-elle un jour?
Merci Bizak. Je suis contente que tu aies trouvé le chemin de mes petits croquis... C'est un petit bonheur qui ne prendra pas trop de ton précieux temps.
Il y a quelque chose d'enchanteur à lire que vous réagissez tout pile à ce très mauvais jeu de mots mal tiré par les cheveux.
Ce dessin a la légèreté d'une ballerine qui avance sans même toucher le sol; il a une forte connotation érotique, la ballerine glisse sur le sein droit et sème ses étoiles dans le creux formé avec le sein gauche dont on devine l'aréole. Derrière, le ventre. La rose a une tige démesurée. A'existe.
Aaaatends, pour qui tu vas me faire passer, toi ? Et puis on doit pas voir le même dessin, je vois pas où elle "glisse sur le sein droit" ta demoiselle. C'est un truc à abîmer son p'tit lolo, qui ne peut être que mignon, lui faire un bleu (remarque, s'il faut la consoler, je veux bien lui faire un bisou dessus...). Et puis voir le ventre derrière le sein gauche. ????? Soit m'sieur NuageNeuf est astyg-mate, soit il a le même fournisseur que Blutch !
Joliii ! Il est amusant de voir comment tu évolues d'un dessin à l'autre. Ici tu as une bien jolie maîtrise des transparences, et de plus la posture est gracieuse, ce qui n'est certainement pas simple à dessiner. Elle porte bien son nom ta demoiselle...
Toujours et de plus en plus éthéré et poetique... et c'est ainsi qu'on aimerait voir tous les hommes vivre.
Et dis en catimini : après quelques essais + que + infructueux, je renonce pour t'arriver en dessous du dessous de la cheville -:) Amicalement Jak sam'défiante
Le poème d'Aragon somptueusement paré de croches et de soupirs, par le génial Léo...
RépondreSupprimerUn de mes poèmes préférés...peut être parce que je l'ai découvert chanté par Bernard Lavilliers.
Supprimercurieux choix que ce poème de la désespérance absolue.....
RépondreSupprimerreflet ?
Heureuse de te voir la Alain.
SupprimerJ'ai un cœur d'hirondelle et des yeux de faïence même si je ne m'appelle pas Lola.
Un reflet sans doute de ma désespérance joyeuse.
"Et moi pour la juger qui suis-je
SupprimerPauvres bonheurs pauvres vertiges
Il s'est tant perdu de prodiges
Que je ne m'y reconnais plus
Rencontres Partances hâtives
Est-ce ainsi que les hommes vivent"
(plus avant dans le poème)
Mais qui est-elle ?
Je découvre grâce a toi que le poème ne commence pas là ou l'on croit. Je ne le savais pas ( c'est dire l'étendue de mon inculture)
SupprimerQui est-elle...tu as posé le doigt sur la question qui m'anime depuis un certain nombre d'année...le saura-t-elle un jour?
Je ne connaissais pas ce blog et quelle merveille! Voilà où me mène ma surcharge de travail: laisser passer le bonheur!
RépondreSupprimerMerci Bizak. Je suis contente que tu aies trouvé le chemin de mes petits croquis...
SupprimerC'est un petit bonheur qui ne prendra pas trop de ton précieux temps.
http://www.deezer.com/track/67649317
RépondreSupprimerTiens voilà du rab !
On échange?
Supprimerhttp://www.deezer.com/track/2599225
C'est quelque chose à la fin que ce dessin a est rien
RépondreSupprimerA est rin du tout, d'ailleurs...moins que rin.
SupprimerA'xiste pas.
Il y a quelque chose d'enchanteur à lire que vous réagissez tout pile à ce très mauvais jeu de mots mal tiré par les cheveux.
RépondreSupprimerCe dessin a la légèreté d'une ballerine qui avance sans même toucher le sol; il a une forte connotation érotique, la ballerine glisse sur le sein droit et sème ses étoiles dans le creux formé avec le sein gauche dont on devine l'aréole. Derrière, le ventre. La rose a une tige démesurée. A'existe.
Je m'étonne que Monsieur Candide ci-dessous présent, n'ait pas réagi à votre délicieuse interprétation de mon dessin.
SupprimerJ'adore!
Aaaatends, pour qui tu vas me faire passer, toi ?
SupprimerEt puis on doit pas voir le même dessin, je vois pas où elle "glisse sur le sein droit" ta demoiselle. C'est un truc à abîmer son p'tit lolo, qui ne peut être que mignon, lui faire un bleu (remarque, s'il faut la consoler, je veux bien lui faire un bisou dessus...). Et puis voir le ventre derrière le sein gauche. ?????
Soit m'sieur NuageNeuf est astyg-mate, soit il a le même fournisseur que Blutch !
:o)
Joliii !
RépondreSupprimerIl est amusant de voir comment tu évolues d'un dessin à l'autre.
Ici tu as une bien jolie maîtrise des transparences, et de plus la posture est gracieuse, ce qui n'est certainement pas simple à dessiner.
Elle porte bien son nom ta demoiselle...
Ce n'est pas simple. Mais c'est là que réside le plaisir: vaincre la difficulté, un beau défi non?
SupprimerToujours et de plus en plus éthéré et poetique...
RépondreSupprimeret c'est ainsi qu'on aimerait voir tous les hommes vivre.
Et dis en catimini : après quelques essais + que + infructueux, je renonce pour t'arriver en dessous du dessous de la cheville -:)
Amicalement Jak sam'défiante