Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
S'élancer vers les champs lumineux et sereins;
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
- Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes!
Charles Baudelaire
Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
S'élancer vers les champs lumineux et sereins;
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
- Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes!
Charles Baudelaire
cela va sans dire !
RépondreSupprimerMais ça va mieux en le disant...
Supprimeroui ! ça émoustille mes élytres !
SupprimerC'est joli ça, " ça émoustille mes élytres"
SupprimerOui c'est plus joli que " ça me troue le cul !"
SupprimerExilé sur le sol au milieu des huées,
RépondreSupprimerSes ailes de géant l'empêchent de marcher.
Ah ce Baudelaine (Coluche dixit) c'était un Charles, mais pas un Charlot !
C'est vrai, il était hénaurme!
SupprimerIl suffit d'oser
RépondreSupprimeret ne pas doser....
Bien vu! Je crois que oser, je sais faire...mais ne pas doser ça va être plus difficile.
Supprimeret tu as le droit de poser aussi , ce que tu veux !
Supprimerque de douceur enfantine dans ce dessin! je ne sais pas pourquoi ça fait écho à un rêve d'enfance ce dessin... le souvenir me reviendra peut-être un jour!
RépondreSupprimerJ'aimerais bien! C'est toute ma part immergée, ma part d'enfance qui s'exprime parfois dans mes dessins...
SupprimerEt c'est toujours troublant de réveiller la même chose chez les autres. Chère Stella.