Glissant de l’épaule à la hanche,
La chemise aux plis nonchalants,
Comme une tourterelle blanche
Vint s’abattre sur ses pieds blancs.
La chemise aux plis nonchalants,
Comme une tourterelle blanche
Vint s’abattre sur ses pieds blancs.
Pour Apelle ou pour Cléomène,
Elle semblait, marbre de chair,
En Vénus Anadyomène
Poser nue au bord de la mer.
Elle semblait, marbre de chair,
En Vénus Anadyomène
Poser nue au bord de la mer.
Théophile Gautier
Elle est belle certes, mais tu as vu toutes ces marches à monter afin de la rejoindre ? Pfu pfu pfu )
RépondreSupprimerCe sont les escaliers de la Place du Tertre ?
Pour la rejoindre il faudrait plutôt les descendre...
RépondreSupprimerMais elle est pensive. Qui viendra?
Si elle te ressemble, pas de soucis il y aura foule ];-D
SupprimerEn tout cas, il n'y a pas foule dans les commentaires cette fois! C'est le syndrome de la rentrée...
SupprimerJe ne suis pas intéressé. Si encore elle portait des Méphisto, mais elle porte des Repetto, et si nous voulons arriver tout en haut, comme qui dirait au septième ciel par les escaliers, il faudra probablement la porter.
RépondreSupprimerPour danser sur un fil c'est quand même mieux les repetto...
SupprimerEt puis dites tout de suite que vous n'aimez pas sentir la violette et la guimauve dans le cou des fleurs.
Alors, il descendit les marches et vint s'asseoir près d'elle
RépondreSupprimeren silence
il fallait bien le silence pour parler à son âme
les mots sont inutiles quand on est aussi proche
il l'a prise par l'épaule et elle posa sa tête
ainsi tout fut dit sans mot et sans parole.
Oh, Alain...
Supprimer....
Un sourire, une main tendue
RépondreSupprimerEt par le jeu des transparences
Ces fruits dans les plis du tissu
Qui balancent
Il ne s'agissait pas de monter bien haut
Mais les pieds sur les premiers barreaux
J'ai senti glisser le manteau
De l'enfance
Si un jour on m'avait dit que le grand Francis me mettrait un commentaire...
Supprimer;-)
C'est une bonne idée d'avoir mis un lien de ton autre blog vers ici, je ne l'avais pas encore vu ;-)
RépondreSupprimerBisous
Tu veux dire le lien? C'est normal je viens juste de le mettre.
SupprimerEn revanche si tu parles du blog tu perds la mémoire, tu oublies la naïade ?
Bisous célestes
La lune perplexe et anxieuse, presque gagnée par le sommeil,se refuse à aller rejoindre Morphée! Qu'a-t-elle la naïade pour ne pas voir mon clair de lune,cette nuit, pense-t-elle?
RépondreSupprimerEt les voix célestes lui répondent : " Elle est heureuse cette nuit, en se rappelant le dernier regard, les derniers mots de celui qu'elle aime..."
...et qui a pris son cœur!!!
SupprimerMais tu es un véritable romantique toi alors...
RépondreSupprimerC'est très joli de faire parler la lune.
Tu me rappelles une chanson que Georges Brassens chantait dans sa jeunesse et qui était, je crois, de Paul Misraki.
"On n'a pas besoin de la lune
Quand on est vraiment amoureux..."
...C'est vrai, parfois, il vaut mieux avoir les pieds sur terre et ne pas demander la lune!
RépondreSupprimerJe garde encore les disques des chansons de ce Grand Brassens, à ce jour!..
Ben j'espère bien : il n'y a pas de date de péremption et c'est à consommer sans modération.
SupprimerDis donc, Celle, je me souviens quand je commençais à te lire, y avait un dessin sans doute de toi, un dessin de linge qui séchait en front de mer... Je pourrais le revoir?
SupprimerA Diù sias.
Tu sais bien que je ne sais rien te refuser...
SupprimerVa voir ici (clic)
Bises étoilées
J'y reviens souvent, maintenant.
SupprimerMerci, Celle.
Et encore.
SupprimerE un còp de mai...
SupprimerBen je vois...une vraie drogue!
SupprimerMais qu'est ce qui t'attire autant dans ce dessin ?