Dites donc vous deux, c'est pas bientôt fini ces supputations parfaitement gratuites ? Bon si vous êtes bien sages, le vent soulèvera peut être sa robe... :-)
Ce devait être une échappée de la manif. de Hong Kong( où les parapluies se rebellent!)! Elle préfère prendre le large, et ce n'est pas son ombrelle qui la protégerait d' une "pluie" de bâtons sur ses frêles épaules.
Oui elle doit être un peu étudiante chinoise dans sa tête, et pour la volée de bâtons, tu ne crois pas si bien dire...elle a eu à affronter l'ire d'une troupe en colère et elle en est ressortie hébétée par tant de haine...
J'entends bien, not'fée, j'entends bien ! Mais ne sais-tu pas qu'écrivant ainsi tu nous mets sur des charbons z'ardents, que le désir s'accroît quand l'effet se recule... ? Alors imagine, l'attente fiévreuse de voir une cheville, ou peut-être même, fol espoir, un mollet !
ouah la robe ! elle en jette !!!
RépondreSupprimerTu es un connaisseur, petit singe vert!
SupprimerMais de quoi donc une ombrelle protège-t-elle la nuit ?
RépondreSupprimerParadoxe Célectinien ?
faut faire attention au coup de lune !!
SupprimerL'ombrelle protège ses frêles épaules de l'humidité ambiante.
Supprimer@ AlainX : "...de quoi donc une ombrelle protège-t-elle la nuit ?"
SupprimerMais de la bise, mon cher, de la bise...
:o))
Jdirien
ah bon tu as eu la version NUE du dessin ?
RépondreSupprimerVeinard !!
Dites donc vous deux, c'est pas bientôt fini ces supputations parfaitement gratuites ?
RépondreSupprimerBon si vous êtes bien sages, le vent soulèvera peut être sa robe...
:-)
Ce devait être une échappée de la manif. de Hong Kong( où les parapluies se rebellent!)! Elle préfère prendre le large, et ce n'est pas son ombrelle qui la protégerait d' une "pluie" de bâtons sur ses frêles épaules.
RépondreSupprimerOui elle doit être un peu étudiante chinoise dans sa tête, et pour la volée de bâtons, tu ne crois pas si bien dire...elle a eu à affronter l'ire d'une troupe en colère et elle en est ressortie hébétée par tant de haine...
SupprimerL'ombrelle de Celle, mais pas de cane de Jeanne sur l'eau?
RépondreSupprimerA cette heure-là, le volatile a la tête sous les plumes...
SupprimerEt pourtant il ne fait pas un froid de canard, à en juger par la robe...
Waow !
RépondreSupprimerJ'ai dit peut-être...
RépondreSupprimerJ'entends bien, not'fée, j'entends bien !
RépondreSupprimerMais ne sais-tu pas qu'écrivant ainsi tu nous mets sur des charbons z'ardents, que le désir s'accroît quand l'effet se recule... ?
Alors imagine, l'attente fiévreuse de voir une cheville, ou peut-être même, fol espoir, un mollet !
Waoow !
Je n'ai qu'une parole...
RépondreSupprimerTu vas même au delà de ta parole puisque le vent n'a pas fait que soulever la robe...
RépondreSupprimerLe vent est fort par ici...
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