Qu'importe ! Ici tout berce, et rassure, et caresse. Plus d'ombre dans le coeur ! plus de soucis amers ! Une ineffable paix monte et descend sans cesse Du bleu profond de l'âme au bleu profond des mers. Victor Hugo
Victor Hugo ne passait jamais en haute Normandie sans s'arrêter au Tréport ! Il était littéralement fasciné par cette ville. L'hôtel de Calais où il séjourna, porte une plaque rappelant son passage. Dans ton dessin j'y vois une petite fille bien mélancolique, et tristoune...
Bien sur qu'elle est triste. Elle contemple la mer nourricière qui va bientôt se retirer au loin et cette marée lui soulève le cœur. Et elle sent qu'elle ne peut compter que sur elle même, sur son rocher. Certains mots la blessent terriblement et l'horizon n'est pas aussi clair qu'il n'y paraît. Le poème de Victor Hugo prend des allures d'incantation magique.
L'horizon je le vois bien gris sur ton dessin, même ton regard bleu ne suffit pas à l'éclaircir... Mais n'oublie jamais que parfois au milieu de la brume apparaît une petite lueur...
C'est vrai qu'elle semble bien tristoune c'te p'tiote sur fond gris. Heureusement, Kirk et Jonathan s'en viennent des plus hautes sphères lui rappeler doucement que "c'est possible"...
Quelle jolie sirène ! mais où est passé le lapin ? il n'avait pas le pied marin peut-être ? il faut dire que lapin et marin, ça ne fait pas bon ménage :-))
Comment ne pas écouter ce géant de la poésie et ne pas se mettre sur un rocher et s'y engouffrer comme on s'y embaume! et écouter les bruits des vagues rassérénantes ! Ici tout berce, et rassure, et caresse., comme il dit! Tes billets Célestine sont toujours à point pour nos âmes, ils nous inspirent tellement! L'idée de "te" mettre sur un rocher est intéressante mais tu as oublié la guitare!
L'infini tristesse solitaire du dessin contraste de manière bouleversante avec le texte de Victor. Pire que la gifle du vent. Qui donc viendra pour écouter et comprendre ?
Je te rejoins Alainx, mais seulement pour celui qui ne connait Alice...euh! Célestine! Rien ne dit que que si elle est là sur le rocher, ce n'était pas pour remonter son moral et happer le bonheur d'être noyée d'embrun! Cela me rappelle cette strophe d'un poème de Baudelaire ( lui qui a l'art de marier tristesse et bonheur tout à la fois!): "Sur l'immense gouffre Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir De mon désespoir !"
Protection maximale. Pantalon + robe. Les planètes s'alignent : dessin ithyphallique ?
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Commentaire minimaliste, peu amène. Phrases non-verbales. Référence poémétique.
SupprimerVictor Hugo ne passait jamais en haute Normandie sans s'arrêter au Tréport ! Il était littéralement fasciné par cette ville.
RépondreSupprimerL'hôtel de Calais où il séjourna, porte une plaque rappelant son passage.
Dans ton dessin j'y vois une petite fille bien mélancolique, et tristoune...
Bien sur qu'elle est triste. Elle contemple la mer nourricière qui va bientôt se retirer au loin et cette marée lui soulève le cœur. Et elle sent qu'elle ne peut compter que sur elle même, sur son rocher.
SupprimerCertains mots la blessent terriblement et l'horizon n'est pas aussi clair qu'il n'y paraît.
Le poème de Victor Hugo prend des allures d'incantation magique.
L'horizon je le vois bien gris sur ton dessin, même ton regard bleu ne suffit pas à l'éclaircir... Mais n'oublie jamais que parfois au milieu de la brume apparaît une petite lueur...
SupprimerMerci. ^^
SupprimerC'est vrai qu'elle semble bien tristoune c'te p'tiote sur fond gris.
RépondreSupprimerHeureusement, Kirk et Jonathan s'en viennent des plus hautes sphères lui rappeler doucement que "c'est possible"...
:o)
Merci pour cette note d'espoir qui vient égayer ce rocher gris
SupprimerQuelle jolie sirène ! mais où est passé le lapin ? il n'avait pas le pied marin peut-être ? il faut dire que lapin et marin, ça ne fait pas bon ménage :-))
RépondreSupprimerLe lapin...reviendra quand la tristesse sera partie.
SupprimerComment ne pas écouter ce géant de la poésie et ne pas se mettre sur un rocher et s'y engouffrer comme on s'y embaume! et écouter les bruits des vagues rassérénantes ! Ici tout berce, et rassure, et caresse., comme il dit!
RépondreSupprimerTes billets Célestine sont toujours à point pour nos âmes, ils nous inspirent tellement!
L'idée de "te" mettre sur un rocher est intéressante mais tu as oublié la guitare!
Ce serait faire insulte à la mer et au chant des vagues...Et puis, entre nous, elle n'a pas trop le coeur à chanter...
SupprimerL'infini tristesse solitaire du dessin contraste de manière bouleversante avec le texte de Victor.
RépondreSupprimerPire que la gifle du vent.
Qui donc viendra pour écouter et comprendre ?
Je te rejoins Alainx, mais seulement pour celui qui ne connait Alice...euh! Célestine! Rien ne dit que que si elle est là sur le rocher, ce n'était pas pour remonter son moral et happer le bonheur d'être noyée d'embrun! Cela me rappelle cette strophe d'un poème de Baudelaire ( lui qui a l'art de marier tristesse et bonheur tout à la fois!):
Supprimer"Sur l'immense gouffre
Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir
De mon désespoir !"
C'est un bonheur de vous connaitre vous deux!
Avant la strophe, pour une meilleure compréhension, il fallait lire:"Le bon vent, la tempête et ses convulsions"
SupprimerQui viendra écouter et comprendre? Mais vous, mes commentateurs chéris.
SupprimerVous tous.
La nuit est tombée
RépondreSupprimerTrois étoiles pour la belle
Larmes d'eau salée
"Trois étoiles pour la belle" dit Epamine. Je n'en vois que deux, petites, plus une, très grande.
RépondreSupprimerC'est une étoile de mère.