La musique souvent me prend comme une mer!
Vers ma pâle étoile,
Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
Je mets à la voile;
La poitrine en avant et les poumons gonflés
Comme de la toile
J'escalade le dos des flots amoncelés
Que la nuit me voile (...)
Charles Baudelaire
les Fleurs du Mal
En équilibre au bord du vide ? Attention délicieuse, vous pourriez tomber !
RépondreSupprimer~L~
La vie n'est-elle pas elle-même constamment un équilibre fragile au-dessus d'un gouffre amer ?
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Presque tous tes dessins rappellent le petit prince dans le désert quand il rêvait d'arracher les trois baobab qui infestaient la planète sauf que cette fois-ci c'est une princesse qui désire voir pousser dans ce même désert des fleurs peut-être même des misères à l'image de celle " au beau rose lumineux"que tu contemplerais au coucher du soleil. Ton esprit Célestine vague au gré de tes rêves les plus enfouis mais surtout les plus beaux.Bises florales.
RépondreSupprimerTu as raison j'aime passionnément faire pousser des fleurs dans des endroits improbables, elles sont synonymes d'espoir...
SupprimerJ'aime aussi contempler des couchers de soleil et relire avec plaisir ce cher petit Prince.
Jolis rêves, cher et fidèle ami.
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Oh, une nouvelle constellation ! Hmmm… sa forme me dit quelque chose…
RépondreSupprimerUne signature, peut-être ?
Un éléphant dans un boa ?
SupprimerUn demi-coeur ?
Un point d'interrogation ?
Qui sait...
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J'ai beaucoup de mal avec la poésie, même si, une fois, les Inconnus en avaient écrit une que j'aime encore comme la première fois que je l'avais entendue.
RépondreSupprimerLes fleurs du mal, j'ai essayé, sûrement comme plein de gens: jamais pu...
Par exemple, là, escalader les flots amoncelés, j'arrive pas à voir.
Par contre, la poitrine en avant, il me semble mieux imaginer...
Un sauvage qui revient des foins.
En fait tu sais, je vais te dire, on s'en fout un peu de la poésie. C'était juste pour illustrer mon dessin.
SupprimerMon dessin auquel j'ai mis tout mon coeur en pensant à toi qui l'attendait avec impatience...et que tu n'as même pas regardé, sauvage qui revient des foins, va! ;-)
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Beaucoup de délicatesses dans ce dessin, cette rose est craquante ;)
RépondreSupprimerMerci Alain, j'aime la délicatesse, comme vous le savez. Et vous réjouir me comble d'aise.
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Et ce besoin d'enveloppement étoilé,
RépondreSupprimeravant de l'accueillir
avant le la cueillir
Mais faut-il la couper de ce qui la rend désirable ?
Tout est dans le regard du coeur tu le sais bien
Ainsi le protèges-tu de tes bras qui ne pourront que s'ouvrir à nouvelle vie...
Tiens c'est vrai, mes bras forment comme un rempart contre le monde extérieur...
SupprimerSans doute mon ptit coeur a-t-il pris trop de coups, il a besoin de se protéger...Tes paroles pourtant un peu sybillines me rassurent.
gros kiss mon babar
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